Perspectives d’emploi Contrôleur/contrôleuse de la contamination par rayonnement en Nouvelle-Écosse

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Cette profession comprend des appellations d’emploi dont les tâches et responsabilités principales ont un impact positif sur l’environnement. Le Guichet-Emplois utilise une liste de professions qui ont été identifiées comme " vertes " grâce à une analyse basée sur les tâches menée par le Occupational Information Network (O*NET) des États-Unis (disponible en anglais seulement), qui a été reconnue par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et adaptée à la Classification nationale des professions (CNP) au Canada. Cette liste est appelée à évoluer au fil du temps. Pour en savoir plus.

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de contrôleur/contrôleuse de la contamination par rayonnement en Nouvelle-Écosse ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Nouvelle-Écosse

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les spécialistes de l'hygiène et de la sécurité au travail (CNP 22232) en Nouvelle-Écosse pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
• plusieurs postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

Ceux qui ont plusieurs années d’expérience pertinente dans l’industrie et qui possèdent des titres de compétences officiels intéressent beaucoup les employeurs et les organismes du milieu de la sécurité. En revanche, les postes exigeant peu d’expérience ont tendance à faire l’objet d’une concurrence plus vive entre les candidats, notamment pour ceux qui font leur entrée sur le marché du travail (ceux-ci peuvent devoir se préparer à déménager pour dénicher du travail). Bien que les responsabilités en matière de sécurité au travail relèvent souvent du personnel chargé des ressources humaines, la demande pour cette profession en particulier devrait continuer de croître, alors que le gouvernement, les employeurs et les organisations en général accordent une plus grande importance aux politiques relatives à la sécurité au travail.

Voici quelques faits saillants au sujet des spécialistes de l'hygiène et de la sécurité au travail en Nouvelle-Écosse :

• environ 950 personnes occupent un poste dans cette profession
• les spécialistes de l'hygiène et de la sécurité au travail travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • autres services professionels, scientifiques et techniques (SCIAN 5414, 5416-5419) : 18 %
  • construction (SCIAN 23) : 12 %
  • administrations publiques provinciales et territoriales (SCIAN 912) : 11 %
  • administration publique fédérale (SCIAN 911) : 8 %
  • extraction minière, exploitation en carrière, et extraction de pétrole et de gaz (SCIAN 21) : 6 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 89 % par rapport à 82 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 11 % par rapport à 18 % dans toutes les professions
• 72 % des spécialistes de l'hygiène et de la sécurité au travail travaillent toute l'année tandis que 28 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 62 % et 38 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 44 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 56 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 43 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : moins de 5 % par rapport à 10 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 20 % par rapport à 27 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 9 % par rapport à 12 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 34 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 24 % par rapport à 20 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 11 % par rapport à 10 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi