Perspectives d’emploi Vendeur/vendeuse de motocyclettes - commerce de détail à l’Île-du-Prince-Édouard

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de vendeur/vendeuse de motocyclettes - commerce de détail à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les vendeurs/vendeuses et décorateurs-étalagistes/décoratrices-étalagistes en commerce de détail (CNP 64100) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de plusieurs postes
• un certain nombre de postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• un certain nombre de travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

L'économie de l'île devrait se développer à un rythme respectable au cours de la période de prévision, ce qui devrait favoriser la croissance de l'emploi dans cette profession. On s'attend en effet à ce que les taux d'intérêt continuent de baisser, ce qui encouragera les dépenses de consommation et les investissements des entreprises. La croissance démographique a été, et continue d'être, un important moteur économique favorisant l'emploi dans ce secteur. Toutefois, l'annonce par le gouvernement fédéral d'une réduction des cibles d'immigration se traduira par un ralentissement de la croissance démographique au cours de la période de prévision. Même si les répercussions de cette politique sont incertaines à l'heure actuelle, elles pourraient avoir un effet modérateur sur la croissance de l'emploi. La demande d'emploi pour cette profession est soumise à une forte saisonnalité, la demande de travailleurs étant plus forte pendant les mois de forte activité touristique et la saison de Noël.

En plus, le recours accru aux guichets de libre-service et la popularité grandissante des achats en ligne pourraient également atténuer la demande d'emploi pendant la période de prévision.

La demande pour cette profession est principalement stimulée par les dépenses des consommateurs dans le secteur du commerce de détail en ce qui touche la vente d'aliments et de boissons, de vêtements, de fournitures en tous genres, de même que de véhicules automobiles et de pièces d'automobiles. L'expansion du commerce en ligne en ce qui a trait aux appareils électroniques, aux vêtements et aux meubles, par exemple, pourrait limiter davantage les perspectives d'emploi pour les vendeurs/vendeuses et commis-vendeurs/commis-vendeuses — commerce de détail.

Il s'agit d'un groupe professionnel important à l'Île du Prince-Édouard, caractérisé par un nombre élevé d'employeurs. Le profil d'âge relativement moins élevé des travailleurs, les exigences moins rigoureuses au chapitre des compétences et le travail à temps partiel courant dans cette profession entraîneront des besoins continus en matière de remplacement (nouveaux employés), soit à mesure que les travailleurs quitteront leur emploi pour poursuivre d'autres occasions. Les possibilités d'emploi sont généralement offertes pendant toute l'année, mais sont plus fréquentes pendant les principales périodes de magasinage. Certains postes peuvent être pourvus par des professionnels retraités ayant exercé d'autres professions. Cette profession constitue une excellente source d'emplois d'été et à temps partiel pour les étudiants. En outre, les perspectives d'emploi sont meilleures pendant les mois d'été et la période des Fêtes.

Les débouchés peuvent être plus favorables dans des magasins à grande surface offrant de plus longues heures d'ouverture. L'utilisation accrue de la technologie sera profitable aux vendeurs/vendeuses et commis-vendeurs/commis-vendeuses — commerce de détail qui possèdent des compétences en informatique de niveau intermédiaire ou d'un niveau plus élevé, particulièrement en ce qui touche l'entrée de données au point de vente et la tenue d'inventaire informatisée. De même, la connaissance d'industries et de produits spécifiques peut accroître la probabilité d'obtenir un emploi.

Voici quelques faits saillants au sujet des vendeurs/vendeuses et décorateurs-étalagistes/décoratrices-étalagistes en commerce de détail à l'Île-du-Prince-Édouard :

• environ 2 400 personnes occupent un poste dans cette profession
• les vendeurs/vendeuses et décorateurs-étalagistes/décoratrices-étalagistes en commerce de détail travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • autres magasins de détail (SCIAN 44-45, à l'exception de 445) : 72 %
  • magasins d'alimentation (SCIAN 445) : 11 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 64 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 36 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
• 46 % des vendeurs/vendeuses et décorateurs-étalagistes/décoratrices-étalagistes en commerce de détail travaillent toute l'année tandis que 54 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 39 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
• moins de 5 % des vendeurs/vendeuses et décorateurs-étalagistes/décoratrices-étalagistes en commerce de détail sont des travailleurs autonomes, par rapport à 13 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 45 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 55 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : 12 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 46 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : 9 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 20 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 11 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : moins de 5 % par rapport à 8 % dans toutes les professions

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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