Perspectives d’emploi Professeur/professeure de géographie au niveau secondaire à l’Île-du-Prince-Édouard

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de professeur/professeure de géographie au niveau secondaire à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront bonnes pour les enseignants/enseignantes au niveau secondaire (CNP 41220) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
• plusieurs postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

Les possibilités d'emploi dans cette profession dépendent du nombre d'inscriptions dans les établissements d'enseignement de niveau secondaire et du financement versé par le fédéral. La population des élèves de la maternelle à la douzième année dans la province a augmenté au cours des dernières années en raison d'une forte croissance démographique, qui a contribué à l'augmentation de la demande pour de nouveaux enseignants. La province a prévu des investissements considérables au cours des cinq prochaines années pour la construction de nouvelles écoles, des rénovations et d'autres projets importants. Toutefois, l'annonce par le gouvernement fédéral d'une réduction des objectifs en matière d'immigration entraînera un ralentissement de la croissance démographique et, bien que l'impact de cette politique soit incertain à l'heure actuelle, elle pourrait avoir une incidence sur les perspectives d'emploi à moyen terme.

Les perspectives d'emploi dans cette profession peuvent être plus favorables pour les postes d'enseignants occasionnels, par exemple les suppléants, et pour les enseignants ayant une formation recherchée (par exemple les enseignants ayant une formation en français ou en mathématiques). De plus, on s'attend à ce que des possibilités d'emploi voient le jour en raison de la nécessité de remplacer les enseignants qui partent à la retraite. Il peut être difficile pour de nombreux nouveaux enseignants d'obtenir un poste permanent, et il peut être nécessaire de se déplacer, car la concurrence est parfois moins forte dans les collectivités rurales. De nombreux postes vacants dans cette profession sont pourvus en interne, alors que les nouveaux enseignants doivent parfois commencer leur carrière dans le cadre d'un contrat de suppléance ou d'un contrat à durée déterminée.

Voici quelques faits saillants au sujet des enseignants/enseignantes au niveau secondaire à l'Île-du-Prince-Édouard :

• environ 650 personnes occupent un poste dans cette profession
• les enseignants/enseignantes au niveau secondaire travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • écoles primaires et secondaires (SCIAN 6111) : plus de 95 %
• leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
  • travail à temps plein : 92 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
  • travail à temps partiel : 8 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
• 95 % des enseignants/enseignantes au niveau secondaire travaillent toute l'année tandis que 5 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 50 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 44 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
  • femmes : 56 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : n.d.
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : moins de 5 % par rapport à 11 % dans toutes les professions
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 6 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 46 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 45 % par rapport à 8 % dans toutes les professions

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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